Samedi 5 et dimanche 6 octobre, le Circuit Dijon-Prenois accueille un événement international : le Dijon Motors Cup. Rupteur !
Ce week-end aura lieu la onzième édition du Dijon Motors Cup au circuit Dijon-Prenois. Conformément aux habitudes, sa dimension internationale se déclinera de la meilleure des façons. Invité d’honneur de ce week-end sportif, René Arnoux se fera un plaisir de venir à la rencontre des passionnés, au coeur du paddock comme à l’occasion des Grid Walk. Mieux encore, sur ce circuit lié à l’un de ses plus fameux exploits, l’ancien champion de F1 prendra la piste chaque fin de matinée aux commandes d’une March F2 de 1977. Une belle manière de se souvenir du titre de champion d’Europe de la catégorie qu’il avait décroché cette même année !
Des F1 face au chrono
Le Dijon Motors Cup a souvent mis d’anciennes Formule 1 sur le devant de la scène. Ce sera encore le cas cette année à la faveur du plateau « Time Attack by AGS ». On y retrouvera notamment en action la spectaculaire Jaguar R5 ex-Mark Webber du Néerlandais Klaas Zwart, des AGS F1 de l’époque, des F1 de LRS Formula, etc… De quoi s’émerveiller au son des V8 ou V10 de Formule 1 des décennies passées.
Un menu d’exception
Les pilotes engagés sur le Dijon Motors Cup représentent plus d’une quinzaine de nations différentes. Cette année plus que les autres, le programme s’ouvre à l’international avec pas moins de dix plateaux différents…
Plateau majeur de la réunion, la F2 Classic Interseries honorera ainsi le rendez-vous, tout comme le Lurani Trophy de Formule Junior et le F3 1000cc European Trophy, pour ce qui constituera leur seule apparition de l’année dans l’hexagone. Trois championnats de renom, dédiés à des catégories de monoplaces qui alimentèrent des pans entiers de l’histoire de la course automobile, auxquels s’ajouteront encore les série néerlandaises SuperSixties et Colmore YTCC, la Lotus Cup Europe britannique et le Ferrari Club Deutschland et Triumph British HTGT allemands.
Et comme un meeting historique de cette importance ne peut faire l’économie d’une course d’endurance, c’est la traditionnelle course des 300 km qui clôturera la journée du samedi.