Alors qu’une demi-finale occupait la majorité des esprits, près de 100 dirigeants ont choisi, ce mercredi 14 décembre, de répondre à l’invitation commune de Cap Nord, Cap Suzon et Grand Sud. Dans les salons du Grand Hôtel de La Cloche, le voile a été levé sur la marque chapeau des 3 clubs d’entreprises dijonnais : Les Z’agglomérés.
Les Z’agglomérés, parlons-en. Avec un « Z » qui rappelle instinctivement mais sans l’imposer vulgairement, le mot « zone ». Puis cet « agglomérés » qui évoque à la fois un rapprochement intime entre trois clubs de chefs d’entreprise et la définition de l’agglomération dijonnaise.
Les présidents de Cap Nord, Cap Suzon et Grand Sud, cités dans l’ordre alphabétique, se parlent depuis l’été dernier. Se retrouvant régulièrement dans un climat de convivialité, Rémi Jean, Dominique Bruillot et Olivier Arbez ont rapidement identifié des thématiques d’action communes et la nécessité de tenir un langage cohérent entre clubs. Notamment dans un contexte difficile pour le monde économique.
Sans entrer plus dans le détail des actions à venir, dont la mobilité et la sécurité sont au premier rang, ce rapprochement ouvert à d’autres (les présidents de la Grappe Chambertine et de Toison d’Or étaient eux-mêmes présents à l’événement), les nouveaux « z’amis » de l’entrepreneuriat dijonnais ont voulu marquer officiellement leur initiative avec une soirée fort réussie dans le salon Napoléon III du Grand Hôtel de la Cloche.
Un nouveau logo commun
N’ayant même pas peur d’un certain France-Maroc occupant au moment même la majorité des esprits, une centaine de dirigeants a répondu à leur appel et assisté, le regard parfois distrait sur leur smartphone (cela se conçoit) à une cérémonie pleine de surprises, de témoignages et de convivialité. Un événement fondateur qui a débouché sur la présentation dynamique et officielle du logo imaginé par Stéphanie Porcheret.
Au rythme du Boléro de Ravel, interprété par le très original quartet Les Rideaux Rouges, le grand Z qui symbolise désormais le rapprochement voulu, a été vivement applaudi. Le temps d’une Marseillaise bienvenue (et attendue), le foot a repris place sur les écrans et les échanges se sont poursuivis le verre à la main, dans une ambiance prometteuse pour ces Z’agglomérés qui n’ont pas fini d’agglomérer certaines actions. Tout en faisant la promesse de ne pas se défaire de leurs propres identités. Il y a donc eu deux victoires le même soir : la première sur une pelouse, la seconde dans un salon feutré.