Le président du Département espère que les Jardins du Département, en plein centre-ville de Dijon, seront propices aux rendez-vous culturels et amicaux pour tous. Il s’en explique volontiers.
Pour vous, les Jardins du Département, c’est…
Une parenthèse de verdure d’environ 5 000 m², au milieu d’un environnement urbain. Mon prédécesseur Louis de Broissia avait ouvert ces jardins, permettant aux piétons de relier la rue de la Préfecture au boulevard de la Trémouille. J’ai souhaité poursuivre la démarche de ce « passage des Côte-d’Oriens » en maintenant l’ouverture des jardins tout au long de l’année et en y organisant des animations publiques.
C’est dans l’air du temps ?
L’époque où l’on considérait les jardins comme des espaces clos est révolue. En France, on aime cette idée que le jardin est la métaphore du bonheur et le reflet d’un certain degré de civilisation. Comme le rappelle l’écrivain Erik Orsenna, « si tellement de gens se retrouvent dans les jardins, c’est parce qu’ils y retrouvent des origines, d’autres horloges et d’autres dialogues que dans la frénésie d’aujourd’hui ». Le jardin a définitivement quitté le seul champ décoratif pour ceux de l’environnement, du bien-être, de la culture et des arts. J’invite les Côte-d’Oriens à s’approprier ces jardins.
Et ça marche ?
Depuis 2015, le Conseil départemental mobilise ses compétences et ses partenariats culturels pour proposer une programmation éclectique, de qualité et tout public. Ce dernier ne s’y trompe pas, il est au rendez-vous, de tous âges, de toutes origines, de toute la Côte-d’Or. Tel un trait d’union entre nos espaces ruraux et notre situation urbaine, les jardins s’ouvrent à toutes les formes artistiques. Pour ces quatre soirées et d’autres surprises à venir fin août et en septembre, vous ne serez pas déçus du spectacle !
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