Les bureaux du bonheur de Aprime Dijon

Spécialiste régional de l’équipement tertiaire, Aprime est contre la déprime au bureau. Il est le partenaire naturel d’entreprises et de lieux d’accueil en quête de bien-être : mobiliers variés et colorés, service sur mesure et patte humaine sont la marque de fabrique maison. Il est même question, entre deux étagères, de gestion d’archives…  

Christophe Meniaud, créateur de Aprime. © Franck Putigny

On a beau dire, on a beau faire, on a beau télétravailler, le bureau reste un sanctuaire où il fait bon œuvrer, si possible avec du sens et entouré de bonnes énergies. L’aménagement contribue à l’harmonie de l’ensemble. Une évidence dont s’est saisi Christophe Meniaud en créant Aprime. 

Cet aménageur d’espaces de travail basé à Dijon vient de fêter ses 35 ans, avec collaborateurs et clients, dans l’écrin magique de La Karrière. Il est aux premières loges d’une nouvelle ère tournée vers le décloisonnement, le sur-mesure et la convivialité. « Pour séduire et conserver des collaborateurs, mieux vaut avoir un bel environnement. Nous équipons de plus en plus de salles de détente, des terrasses avec barbecue », témoigne le dirigeant. Ce dernier a été rapidement rejoint par Sarah Thierry. Binôme de vie (et de bureau donc), cette pétillante ex-commerciale dans le secteur informatique a « passé (sa) vie sur le terrain et dans les bureaux ». Elle sait de quoi elle parle.

Clé en main 

Aprime s’appuie sur cette connaissance de la vie en entreprise, avec une réactivité de tous les instants. Elle mobilise aujourd’hui une valeureuse équipe constituée de trois commerciaux, une dessinatrice, une assistante administrative et une précieuse équipe de livreurs et monteurs. « Le clé en main est notre savoir-faire, de l’installation complète à l’évacuation du mobilier à remplacer en passant par le câblage », témoigne le duo, très attentif aux éléments de personnalisation. Bureau de direction, salle de réunion, open space, coworking, banque d’accueil : tout est possible.

Aprime se fait ainsi le partenaire de clients très variés sur le territoire bourguignon. Il équipe des espaces de vie, hôtels ou restaurants. En témoigne le bar du nouvel hôtel Aloft, au cœur de Dijon, avec son design original équipé en Vitra et Softline. « Un espace chic, coloré et convivial, qui casse un peu les codes », résume l’entreprise dijonnaise. Les vestiaires du musées des Beaux-Arts de Dijon, les écoles Eseo/ESTP sur le campus universitaire, les trois sites de la Cité des Climats & vins de Bourgogne, ou bien les espaces de coworking rural de la Réussite est dans le Pré font partie de ses dernières références.

35 km d’archives

Une activité « d’épicerie fine », avec des partenaires fabricants de confiance, dont certains sont là depuis les débuts. Une dizaine de fournisseurs français et européens, le  fabricant de bureau Clen, les assises Sokoa  et Dauphin, le mobilier extérieur Fermob, sans oublier deux marques iconiques suisses,  USM Haller et Vitra. « Ainsi, notre offre est complète, aussi bien en terme de tarifs que de design », avance Christophe. En fonction du cahier des charges établi, l’équipe commerciale sélectionnera ainsi des produits et des ambiances (colorimétrie, matière, lumiére, décoration…) en adéquation. Le bureau d’études dessine le projet et réalise des images du futur aménagement. Pour une installation impeccable, les monteurs d’Aprime rentrent en action ! 

Ce savoir-faire est précieux. Il se retrouve aussi au sein d’Aprime Archives. Une géniale intuition à l’aube des années 2000 a permis à Christophe Meniaud de sortir de l’armoire cette activité parallèle et complémentaire de gestion d’archives papier. Condamnée à mourir à l’ère du tout numérique ? Pas vraiment. Les PME, professions libérales, établissements médicaux, experts comptables et syndics de copropriété sont encore nombreux à conservent leurs « data papier » au sein de « six bâtiments à Quetigny, soit 35 km d’archives ».

Cette double activité projette Aprime dans le long terme, avec la simplicité et la passion qui caractérise l’entreprise. Christophe, Sarah, Johana et tous les autres n’ont donc pas fini d’aménager les bureaux du bonheur.